Caché dans un cocon de verdure,
Se détache un petit et merveilleux îlot,
Où s’ébat le rouge vif d’un coquelicot,
Où s’écoule du vent, l’immense murmure…
Protégée d’une simple ombrelle blanche,
Une jeune femme telle la somptueuse fleur,
Sommeille à l’abri de la chaleur,
De ce soleil joueur, caressant le flanc, les hanches…
Un doux parfum s’élevant entre terre,
Près d’ici, près d’elle, lèche et rivalise,
Avec le rose de sa bouche, la touche friandise,
Et entre dans un rêve, subtilement prolifère…
L’astre illuminant la robe immaculée,
Sème de l’argent en sa noire chevelure,
Sur son épaule délicate, qu’il rassure,
Jette un dernier accord, sur la douce infinité…
Le rouge et le blanc, s’alliant au vert,
Esquissent un tableau d’une rare beauté,
Éveillent quelques jolis temps oubliés,
Estompent la vie passée, et ainsi tout ce qui s’y perd…
Se détache un petit et merveilleux îlot,
Où s’ébat le rouge vif d’un coquelicot,
Où s’écoule du vent, l’immense murmure…
Protégée d’une simple ombrelle blanche,
Une jeune femme telle la somptueuse fleur,
Sommeille à l’abri de la chaleur,
De ce soleil joueur, caressant le flanc, les hanches…
Un doux parfum s’élevant entre terre,
Près d’ici, près d’elle, lèche et rivalise,
Avec le rose de sa bouche, la touche friandise,
Et entre dans un rêve, subtilement prolifère…
L’astre illuminant la robe immaculée,
Sème de l’argent en sa noire chevelure,
Sur son épaule délicate, qu’il rassure,
Jette un dernier accord, sur la douce infinité…
Le rouge et le blanc, s’alliant au vert,
Esquissent un tableau d’une rare beauté,
Éveillent quelques jolis temps oubliés,
Estompent la vie passée, et ainsi tout ce qui s’y perd…